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La-Couleur-de-laMagie

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“ Joyeuse fête de Beltane à tous ☼ De retour sur le blog : je vais répondre à tous vos commentaires sous peu ♥ ” - lundi 01 mai 2017 14:48
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Création : 28/12/2016 à 04:33 Mise à jour : 16/06/2017 à 10:45

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La Muse assassinée

L'inspiration n'a plus vraiment la côte. Il semble que ce terme, passé dans le langage courant, souffre d'un soudain désamour. Serait-ce le rationalisme ambiant ? Le triomphe du sacro-saint travail sur la créativité que nous pistons toute notre vie, au détour d'un rêve d'enfant effeuillé, défloré ?

La Muse assassinée
 
Commençons par plonger aux racines de cette expression.

Que désigne réellement l'inspiration ?


Lorsque j'étais en hypokhâgne, nous avions beaucoup travaillé sur ces notions opposées de travail et d'inspiration. Je me souviens d'ailleurs très bien de la toute première dissertation de français de cette année extraordinaire, par un frais samedi matin. A dire vrai, je me souviens surtout de la note – qui, je vous l'assure, ne vaut pas la peine d'être mentionnée ici ; mais c'est le jeu, quand on arrive en prépa... Chuter, très bas, se relever, gravir la montagne en s'écorchant les mains et les genoux, autant fois que nécessaire.
Travail. Inspiration. De tous temps, les auteurs se sont disputés autour de ces deux notions. Alors que les antiques célébraient les vertus de l'insaisissable inspiration, don des dieux, bien des modernes cartésiens sont revenus par la suite de cette conception du monde. On imagine fort bien Flaubert, adepte du style irréprochable et du travail, jeter des regards méprisants en direction d'Homère ou d'Hésiode, qui débutaient toutes leurs œuvres par des invocations aux Muses... A l'inverse, qu'auraient pensé les auteurs de la Pléiade, Ronsard et Du Bellay (qui reconnaissaient cependant la valeur du travail sur la langue), pour ne citer que les principaux, fervents défenseurs des Muses, des thèses de Paul Valéry ? Nous dirons, pour être poli, que l'inspiration lui inspirait un certain mépris.
Être inspiré, c'était être touché par le dieu, soit être dans un état d'enthousiasme (du grec ἐνθουσιασμός) : littéralement : être possédé par θεός, le dieu. En théorie, si vous vous écriez soudain « Ça y est, j'ai retrouvé l'inspiration !! » et que vous vous mettez à écrire comme un fou au clavier, les mots s'enchaînant les uns aux autres avec une cohérence incroyable, c'est...parce qu'un dieu, un esprit, une Muse, qui sait, se tient derrière vous et vous souffle à l'oreille que dire et que faire.
Sauf que vous êtes tout seul devant votre ordinateur, que vous avez froid aux pieds et que vous mourez de soif, là-maintenant – et que la Muse du coin n'est pas trop le genre à vous faire du café... Dommage.

La Muse assassinée
 
Le monde est vraiment injuste.


Il y a ceux qui seraient en contact avec d'autres dimensions. Certains qui se prétendraient inspirés par des proches disparus. Je passerai sur les récits mystiques de Yogis qui ont réveillé leur Kundalini (n.d.a : la force vitale de chaque personne, qui dort enroulée comme un serpent, au bas de la colonne vertébrale, au niveau de Muladhara Chakra, le chakra-racine) et ont soudainement accédé à une manne d'informations, maîtrisé des dizaines de langues, et sont mystérieusement devenus des poètes du jour au lendemain. Après tout, inspiration ou pas, elle est synonyme de croyance.
Parce que vous, vous n'arrivez à rien.

Pour autant, peut-on dire de l'écriture qu'elle est uniquement affaire de travail ? Là, serait-ce juste cela ? Suer sur sa feuille, pleurer, s'écorcher les doigts et les mains, s'user les nerfs et les yeux ?

Le travail, merci l'étymologie, provient du latin tripalium ; et tripalium signifie torture. Bon, vous qui écrivez, est-ce que sortir ce chapitre est franchement une tripalium – une torture ? Si c'était de la torture, je pense que vous ne revendiqueriez pas l'écriture comme étant votre passion. Ou vous avez de la passion une bien drôle de définition. Ce qui ne regarde que vous, cela-dit...

Et si notre Muse (oui, vous savez, celle qui refuse de vous faire du café et qui bosse à mi-temps pour vous – et encore, elle est très souvent malade, ces derniers temps. Réfléchissez-bien, je suis sûre que vous voyez de qui je parle...), c'était nous-mêmes ?
Non, reposez ces rideaux immédiatement, l'idée n'est pas de se draper dans une toge et d'égrener quelques notes sur une lyre. Venez par ici que je vous explique un peu...

La Muse assassinée
 
Notre Muse, c'est nous-mêmes, tout simplement parce que la source de notre inspiration se trouve en nous.


Je sais que quantité d'auteurs postulent que l'inspiration telle que l'entendaient les Anciens est un phénomène probable (par le biais d'une sorte de grande conscience collective qui dépasse notre petit égo, un genre d'inconscient universel, si vous voulez. Elizabeth Gilbert - dont vous pouvez retrouver des interviews sur Tedx - avait développé cette idée, me semblait-il, dans un numéro de Happinez que j'avais lu, et il y a d'autres auteurs qui pensent ainsi ! Voire des scientifiques). Sans renier cela (chacun est libre de penser ce qu'il veut), j'aurais plutôt tendance à penser que tout se trouve en nous. L'Alpha et l'Oméga de notre créativité trouve sa source à la fontaine de nos expériences de vie.

Ecriture automatique, rêves, journaux intimes, associations de mots, idées qui jaillissent à l'improviste, exactement quand il ne faut pas (au lieu de ranger ces dossiers merveilleux, par exemple, ou de remplir votre déclaration de revenu fiscal... Le cerveau, ce sacré petit procrastineur...), et j'en passe. Non, il n'y a rien de magique dans toutes ces techniques. Elles puisent au plus profond de vos propres ressources, celles que vous oubliez d'exploiter, pris par le tourbillon de la vie. Et qu'ont-elles en commun ? Elles stimulent l'hémisphère droit de votre cerveau, relié à la créativité et à l'innovation, plutôt que le gauche, que nous utilisons en permanence – pour penser, juger, analyser, décortiquer. Quand le premier voit le tableau dans son ensemble, le second a tendance à tout voir selon un angle de vue restreint... Souvent celui de l'habitude, d'ailleurs.

Et puis il y a ceux qui n'ont jamais de problème. Toujours frais comme des fleurs des champs, tellement d'idées qu'ils ne peuvent pas toutes les exploiter... Leur Muse est bien vivante et bien active - et leur hémisphère droite en excellente forme ! A vrai dire, vous avez déjà considéré la kidnapper, mais sans jamais réussir... Oui, le monde est injuste, car nous ne sommes pas tous égaux au niveau de l'inspiration et des idées - a priori.
Justement, les techniques citées plus haut vous libèrent des limites de votre psyché, celles de l'éducation, de la raison, des inhibitions qu'on vous a imposées par couches successives depuis l'enfance. Vous créez de nouvelles connexions neuronales...

Si vous ne lui laissez pas de place pour qu'elle s'exprime, comment votre créativité peut-elle s'épanouir à travers vos œuvres et dans votre vie ? Si vous êtes quelqu'un de très logique, de très cérébral et d'organisé, qui a du mal à laisser place à l'imprévu, ou le regrette aussitôt, ne vous étonnez plus que la flamme que vous aviez pour vos projets s'éteigne aussi vite. Vous vous brimez.
Ou, du moins, la société ne vous a jamais appris à faire que cela : vous brimer, rentrer ce que vous avez d'unique et d'original en vous.

La Muse assassinée

Mais vous savez quoi ?


C'est réversible. L'enfant qui inventait des histoires à partir d'une poignée de cailloux et imaginait des châteaux dans une fourmilière existe toujours. Il joue à cache-cache derrière des piles de concepts et de pensées abstraites. Mais laissez-lui le temps, acceptez de fermer les yeux et de compter jusqu'à dix, prêtez-vous à son jeu...et soudain, prunelles immenses, fossettes au creux des joues et jus de baies au coin des lèvres, il se retrouvera face à vous. Le tout sera alors de ne pas l'effaroucher...
 
Vos émerveillements d'enfant, vos premières vacances, ce chaton qui est arrivé à la maison quand vous aviez cinq ans, le jour où vous avez cru rencontrer le prince charmant (vous aviez sept ans, et pas toutes vos dents...), la perte de votre meilleur ami, ces expériences simples, courir dans les champs, manger une part de tarte aux mirabelles préparée par maman, ce temps où tout semblait grandiose... que voilà des trésors ! Souvenez-vous du bonheur simple que vous trouviez dans ces choses, sommes toutes, banales. Insufflez à votre écriture le souffle épique de ces instants, les émotions sans taches, pures et puissantes, que vous éprouviez alors...

Soudain, le miracle a eu lieu. Vos pieds sont toujours froids, vous avez toujours aussi soif, mais...que s'est-il passé ? Cela ne vous fait plus rien.
En fin de compte, vous n'êtes plus seul. Vous les sentez presque : deux mains diaphanes et tièdes, posées sur vos épaules, une chevelure lustrée qui s'enroule et s'emmêle à la vôtre, et cette voix, une ambroisie qui irrigue votre cerveau... La Muse est là. De crainte de l'effaroucher, vous n'osez bouger. Seules vos mains continuent de pianoter en rythme sur le clavier, et vous vous autorisez un petit sourire.

Évidemment, ce n'est pas le genre de chose que vous pourrez raconter à n'importe qui. Peut-être que votre propre mère vous regarderait bizarrement. Sans doute votre compagnon s'amuserait-il à vous charrier sans fin à propos de la Muse imaginaire. Mais, quand bien même ? Vous savez ce que vous avez vu – et senti.

La Muse est en vous. Laissez-la sortir, et des miracles pourront s'accomplir...

Vous écrivez sous la diction de la Muse ? La Muse de vos propres idées et de vos mondes intérieurs ? Eh bien, n'êtes-vous pas en train de travailler ? Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas d'effort apparent et que vous n'êtes pas en train de lutter pour enfanter chaque phrase que vous ne travaillez pas. Prenez plaisir à ce que vous faites. Laissez couler. Laissez venir...

Voilà comment on pourrait réconcilier inspiration et travail – les deux facettes de l'art de l'écrivain, dans le fond...

La Muse assassinée
Tags : écriture, inspiration, Inspiration ✿ Liberté d'expression., travail, paul valéry, platon, homère, ronsard, dieux, muse, lifestyle, pourquoi écrire ?, réflexion, kundalini, yoga, muladhara chakra, tripalium, enthousiasme, énergie, hémisphères du cerveau, procrastiner
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#Posté le mercredi 28 décembre 2016 15:32

Modifié le jeudi 29 décembre 2016 04:18

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Moon-Wizard, Posté le mercredi 31 mai 2017 03:30

Ouah, j'adore cette idée de personnification de l'inspiration. Ton article est vraiment bien, j'ai rien à redire. Je ne saurais dire quelle forme prend mon inspiration, mais en ce moment, elle n'est pas avec moi, c'est certain. Merci pour ton article très inspirant, pour le coup !


deliquescencedelespoir, Posté le samedi 25 février 2017 04:52

Que de plaisir en parcourant tes articles ! Ils sont "travaillés" sans pour autant être "boring"
On parcourt cette synthèse avec grand intérêt et personnellement en apprenant maintes choses qui jusqu'alors étaient totalement ignorées. La fameuse Muse. Qui se prête à tout type d'art que ce soit l'écriture, la peinture, la musique, le cinéma chacun l'accueille de différente manière. D'autres, comme tu le dis si bien, la "rejette" bien que je trouve ce mot un peu fort.

L'idée antique me parait surtout être une belle image poétique d'un événement intérieur qu'il est plutôt difficile à expliquer et extérioriser. Mais je trouve que tu as su résumer cette idée "d'inspiration" avec des mots vrais, simples, se référant à notre imagination d'enfant qui s'avère n'être jamais bien loin de nous.

La crainte de la page blanche est une étape que nous avons tous plus ou moins vécu et je pense également que nous nous bloquons nous-même généralement car inaptes à prendre le recul nécessaire à l'instant t. Bon, je suis loin d'être autant spécialiste que toi pour synthétiser mes avis -et j'en suis bien désolée- mais je pense avoir saisi tes idées et tes intentions dans cet article. Et une nouvelle fois, je suis enchantée par ce premier parcours sur ton blog où j'apprend mille choses.

Merci à toi pour ce beau partage.
Je reviendrai très certainement découvrir tes autres écrits (article, comme extrait de roman *-*) à un moment plus propice.


mimiemathylove270805, Posté le vendredi 03 février 2017 15:32

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Un-ete-42, Posté le mardi 31 janvier 2017 09:26

C'est vraiment super intéressant comme article, et tellement bien écrit ! Je suis d'accord avec toi, je pense que l'inspiration est en nous, et qu'il faut apprendre à la libérer, à s'écouter, à faire taire un peu notre cerveau gauche, tout simplement à reconsidérer le monde autrement : prendre le temps d'observer, de se souvenir, de s'émerveiller, de voir les choses autrement :)
Je pense qu'il y a aussi des choses qui font partie d'un inconscient collectif (du genre les traces qu'ont pu laisser des conflits tels que la seconde guerre mondiale), mais notre créativité est avant tout dans notre propre cerveau, reliée à notre propre vécu, à nos émotions, etc.


Alearia, Posté le dimanche 22 janvier 2017 16:47

D'ailleurs, ton titre m'a fait pensé au " Poète assassiné " d'Apollinaire ! C'était voulu ou c'est juste moi qui fait des liens stupides ? :)
Parce que pour ce qui est de l'imaginaire et tout ça, ça correspond super bien ahah.


Alearia, Posté le dimanche 22 janvier 2017 16:45

Oh, je comprends beaucoup de choses : "celle qui refuse de vous faire du café et qui bosse à mi-temps pour vous – et encore, elle est très souvent malade, ces derniers temps." C'est pour ça que ces derniers temps, j'ai du mal à écrire, je comprends tout xD
Non plus sérieusement, je pense que je fais partie de la catégorie avec " trop d'inspiration ". Le problème, c'est que je ne peux pas toutes les exploiter dans Alëaria (d'où les 7/8 projets en jachères que je pense continuer plus tard). Je pense que j'ai pu inverser cette habitude dont tu parles dans ton article en " rêvant " tous les jours, à n'importe quelles heures et en voyant du merveilleux et du fantastiques un peu partout. Un peu comme une enfant, en somme. Bref, je suis persuadée que n'importe qui peut écrire, contrairement à ce que pensaient beaucoup d'intellectuels des siècles passés :)
Mais l'écriture en elle-même me ralenti. Choisir les bons mots, la bonne formulation, bref, tout ce processus créatif qui met du temps à se mettre en place pour donner quelque chose d'agréable à lire.

Ton article est très intéressant, vraiment ! J'ai tendance à rejeter en bloc l'inspiration au sens antique du terme, personnellement. Je pense que le souffle créateur, comme tu le dis si bien, provient de nous et non d'un dieu qui voudrait que l'on fasse les choses d'une certaine manière et nous dicterais la façon de le faire. Néanmoins, l'idée de conscience collective n'est pas étrange, dans le sens ou l'imagination n'est souvent - mais pas exclusivement, je pense - qu'une imbrication d'éléments les uns avec les autres. Par exemple, en ce qui concerne les créatures fantastiques : le dragon serait une version de la salamandre, elle-même descendante de l'association de deux idées, le feu et le lézard. Donc d'une certaine manière, notre inspiration a peut-être un fond commun. De là à dire qu'il s'agit d'une conscience collective... Je ne suis pas trop d'accord avec Elizabeth Gilbert, ahah x]


Quatre-Trois-Deux-Une, Posté le vendredi 13 janvier 2017 18:27

Il se fait tard donc je vais me coucher.
Je poursuivrais la suite de ma visite de ton blog ce week-end ou en début de semaine prochaine.
Bonne soirée et à bientôt \o.


Mystic-Connection, Posté le samedi 31 décembre 2016 08:38

Encore un article des plus intéressants -et très documenté-, un bonheur !

Avant, je forçais. J'avais une date à laquelle il fallait que j'aie publié un chapitre, et je me forçais à m'y tenir. Résultat ... Bein ça a donné des chapitres moyens, de longues phases de "oh mais c'est nul ce que tu as écris punaise", et beaucoup de frustration. Aujourd'hui, je fonctionne autrement. J'attends d'être "dans" ce que j'écris, même si cela me prend trois mois au lieu d'une semaine. J'ai de grosses périodes de creux, des périodes où je vais pas fort, et j'ai appris à ne plus me ruer sur MC sans réfléchir pendant ces moments-là, parce que je lui faisait du mal à elle en faisant ça, parce que dans ces moments-là, je suis trop en lambeaux, incapable de tenir le poids des petits êtres d'encre que je porte d'habitude. Dans ces cas-là, les protéger, c'est aussi les protéger de moi. En revanche, quand le déclic est là, quand l'inspiration vient, j'ai tendance à un peu tout lâcher et me précipiter dans l'écriture. Parfois, ça vient d'une musique, parfois de la lecture d'un roman, d'une scène d'un film ... Parfois juste comme ça.
Quand j'ai du temps mais que je ne me sens pas de m'exploser le coeur sur le papier, je travaille mon scénario. Les tenants et les aboutissants de la réécriture, une problématique en particulier (je fais beaucoup ça en cours, souvent c'est la philo qui me fait réfléchit à des problématiques, et après pouf, je suis lancée), ou simplement le chapitre suivant, ce qu'il s'y passe, comment cela se passe, etc. Ce sont des moments souvent plus de réflexion, où j'essaie d'être consciente de ce que je fais advenir et comment, qui parfois déclenchent l'inspiration.
C'est en tous cas une question qui évolue constamment, suivant comment je vais, comment je ressens les choses et où les choses en sont dans l'histoire, aussi. Dans dix ans, peut être que cela aura changé du tout au tout, qui sait !


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